Les maisons se serrent autour du cœur du village avec sa mairie, le monument aux morts et son ancien puits communal. La vie à Saint Georges est discrète, à la mesure de ses moyens, et avec la volonté de préserver ses charmes, dont font aussi partie les arbres séculaires de la forêt Tanet.
L’activité agricole reste la seule activité économique de la commune avec ses deux sièges d’exploitation.
La vie associative de Saint Georges se décline avec l’intercommunalité puisque les associations sont liées avec celles de Saint André-le-Bouchoux et de Romans.
Les sites à découvrir à Saint Georges-sur-Renon sont :
(ou tanay de « tanin », substance obtenue a partir des chênes pour tanner le cuir : au Moyen-âge, Châtillon accueillait alors des tanneries).
Elle culmine à 292 m ,ce qui est le point le plus élevé du secteur. Il faut aller à Chalamont pour trouver plus haut.
C’est sur ce sommet que l’on peut encore découvrir les fondations d’un mirador, utilisé par les allemands pendant la seconde guerre mondiale, pour surveiller la région.
Suite à leurs destructions par l'incendie de 1670, les halles de Châtillon furent reconstruites à l'identique. Philibert Collet, maire de la Cité, avait obtenu de Mademoiselle de Montpensier, Comtesse de Chatillon, la faveur d'abattre en sa forêt de TANAY les chênes nécessaires à leur reconstruction.
L’activité agricole reste la seule activité économique de la commune avec ses deux sièges d’exploitation.
La vie associative de Saint Georges se décline avec l’intercommunalité puisque les associations sont liées avec celles de Saint André-le-Bouchoux et de Romans.
Les sites à découvrir à Saint Georges-sur-Renon sont :
- Le verdoyant vallon de la rivière « Le Renon » et la forêt Tanet qui possèdent un charme paisible
- La forêt Tanet
(ou tanay de « tanin », substance obtenue a partir des chênes pour tanner le cuir : au Moyen-âge, Châtillon accueillait alors des tanneries).
Elle culmine à 292 m ,ce qui est le point le plus élevé du secteur. Il faut aller à Chalamont pour trouver plus haut.
C’est sur ce sommet que l’on peut encore découvrir les fondations d’un mirador, utilisé par les allemands pendant la seconde guerre mondiale, pour surveiller la région.
Suite à leurs destructions par l'incendie de 1670, les halles de Châtillon furent reconstruites à l'identique. Philibert Collet, maire de la Cité, avait obtenu de Mademoiselle de Montpensier, Comtesse de Chatillon, la faveur d'abattre en sa forêt de TANAY les chênes nécessaires à leur reconstruction.